{mosimage}Du philosophe français Jean Marie Guyau (1854-1888) paraît en 1893 sa « Méthode Guyau. Lecture par l’écriture » (Paris, A. Colin. trois cahiers in-4, 1893). Le premier cahier : J’apprends à écrire ; le deuxième cahier : J’écris mieux ; le troisième cahier : Je sais écrire. Ce livre, posthume, fait suite à trois autres ouvrages de Guyau consacrés, depuis 1875, à la lecture.
L’originalité de ces publications c’est qu’elles sont parallèles à d’autres activités strictement philosophiques : des traductions d’Épictète et de Cicéron ; des ouvrages d’histoire de la philosophie contemporaine [La Morale anglaise contemporaine, morale de l’utilité et de l’évolution, 1879] ; des réflexions sur l’Esthétique ; et en 1885, un livre désormais classique : Esquisse d’une morale sans obligation ni sanction [Paris : Félix Alcan], sans oublier un recueil de poésies : Vers d’un philosophe, 1881.