C'est dans une carrière poétique, commencée à la quarantaine, que semble s'épanouir Stanislas Mondelot. Il multiplie la publication de plaquettes en province, puis à Paris. Dédiant ses alexandrins, parfumés de grec, aussi bien à Louis-Philippe, qu'à Victoria, reine d'Angleterre. Sans compter les recueils signés de simples initiales ou publiés sous des noms d'emprunts, échappant aujourd'hui à la sagacité des bibliothécaires.
Le Mariage des Plantes, an VIII
En l’An VIII [1799/1800] paraît Le Mariage des Plantes, traduit de l’Ouvrage du Docteur Petit-Radel intitulé « De Amoribus Pancharantis et Zoroae, Poema eroticon, Idalio stylo exaratum », avec le texte à côté.
Album poétique illustré, 1866
Un professeur de langue et de littérature françaises, Bellot d’Oradour, publie en Allemagne, dans la seconde moitié du XIXe siècle, un «Album poétique illustré ». Celui-ci se définit comme « Choix varié de poésies françaises ».