Continuer la lecture de « Damiron Philibert (1794-1862), funérailles, discours et personnalités »
Chopin, Jacques Dominique, De Facultate morali, thèse latine, 1818
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Gunet, Anthelme (1806-1868), professeur de philosophie au lycée de Lyon
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Caen : Tyrard-Deslongchamps, premier professeur de philosophie
Nicolas Tyrard-Deslongchamps [1750-1821] est le premier professeur de philosophie nommé au lycée impérial de Caen [Calvados]. Il y enseigne de fin 1809 à 1820 inclus. Est en même temps titulaire de la chaire de Philosophie à la Faculté des Lettres de Caen, et doyen de la Faculté. Continuer la lecture de « Caen : Tyrard-Deslongchamps, premier professeur de philosophie »
Clermont-Ferrand : Aufauvre, premier professeur de philosophie
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Poitiers : Bernardeau, premier professeur de philosophie
L'abbé Jean Louis Bernardeau [1762-1829] est le premier professeur de philosophie nommé au lycée impérial de Poitiers [Vienne]. Il y enseigne sur toute la période qui va de fin 1809 à 1815. Continuer la lecture de « Poitiers : Bernardeau, premier professeur de philosophie »
Orléans : Regel, premier professeur de philosophie
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Lyon : Gourju, premier professeur de philosophie
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Bordeaux : Toucas de Poyen, premier professeur de philosophie
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Bourges : Blondeau, premier professeur de philosophie
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Limoges : Valrivière, premier professeur de philosophie
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Grenoble : Jammet, premier professeur de philosophie
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Grenoble : Jammet, premier professeur de philosophie
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Dijon : Colombot, Zacharie, premier professeur de philosophie
L'abbé Zacharie Colombot [1762-1821], est le premier professeur de philosophie au lycée impérial [puis collège royal] de Dijon et à la Faculté des Lettres de Dijon [Côte-d'Or], de 1809 à 1819. Continuer la lecture de « Dijon : Colombot, Zacharie, premier professeur de philosophie »
Besançon : C. A. de Moy [1753-1833], premier professeur de philosophie
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Amiens : J. S. Flotte, premier professeur de philosophie
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Caro, Elme Marie (1826-1887, le spiritualisme universitaire contre le positivisme
Chronologiquement placé entre Victor Cousin [1792-1867] et Henri Bergson [1859-1941], Elme Marie Caro, a fait de tous ses ouvrages, discours, mémoires, rapports, une machine de guerre contre le positivisme scientifique.
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Franck, A . (1809-1893). Les rédacteurs du Dictionnaire des sciences philosophiques
La liste exhaustive des rédacteurs du Dictionnaire des Sciences philosophiques [1844] d'Adolphe Franck se compose d'une cinquantaine de personnalités. Celles-ci ont contribué, souvent pour une large part, à la diffusion du spiritualisme français du XIXème siècle, dont Victor Cousin est le chef de file affirmé. Continuer la lecture de « Franck, A . (1809-1893). Les rédacteurs du Dictionnaire des sciences philosophiques »
Les programmes des concours de Philosophie de l’Académie des Sciences morales
Dès 1833, au sein de l'Académie des Sciences morales, Victor Cousin (1792-1867) prend une part dominante dans l’orientation de la section de Philosophie, notamment en ce qui concerne les concours régulièrement proposés. Il veille chaque fois à fournir aux concurrents un programme à suivre pour la rédaction des Mémoires. Cette tradition des consignes détaillées se maintient au delà de 1867, puis les programmes, après être réduits à quelques lignes, finissent par disparaître dans les années 1890. Continuer la lecture de « Les programmes des concours de Philosophie de l’Académie des Sciences morales »
Soixante sujets des concours de Philosophie de l’Académie des Sciences morales
{mosimage}Entre 1833 et 1900, la section de Philosophie de l'Académie des Sciences morales et politiques propose au concours une soixantaine de sujets, aussi bien sur des philosophes : Socrate, Platon, Aristote, Descartes, Leibniz, Kant, Schopenhauer, Maine de Biran, Schelling, etc., que sur des thèmes : la Certitude, le Libre-arbitre, le Pessimisme, Psychologie et philosophie, la Folie, la Perception, etc. Soit un peu plus d’une centaine de mémoires qui ont été déposés, traces partielles mais objectives de l’histoire de la philosophie spiritualiste au XIXème siècle. Continuer la lecture de « Soixante sujets des concours de Philosophie de l’Académie des Sciences morales »
Saint-Simon, Cousin, Jouffroy : la rencontre légendaire
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Debs, Auguste, et l’enseignement de la philosophie dans les années 1840
Dans ses Mémoires d'un critique [1896], Jules Levallois [1829-1903] consacre un chapitre à Auguste Debs [1813-1849], qui a été son professeur de philosophie au collège royal de Rouen. On y trouve une description chaleureuse du style et des thèmes d'enseignement d'un ancien élève de l'École normale, un peu avant les années 1850.
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Cassin, André François [1795-1853], et la première agrégation de philosophie
En 1825, a lieu la première « agrégation de philosophie » nouvelle manière. Il y a quatre reçus : Alexandre Gibon [1789-1871], Jean Saphary [1796-1865], Adolphe Félix Gatien-Arnoult [1800-1886], André François Cassin [1795-1853]. On trouve ici la carrière d’André François Cassin agrégé de la première heure. Continuer la lecture de « Cassin, André François [1795-1853], et la première agrégation de philosophie »
Willm, Joseph (1792-1853) et le troisième concours sur la Philosophie allemande
En avril 1845, Joseph Willm, alors qu'il est Inspecteur de l'Académie de Strasbourg, obtient le prix de l'Académie des Sciences morales et politiques [prix du Budget] sur l'Examen critique de la philosophie allemande. Le sujet avait été proposé par Victor Cousin dès novembre-décembre 1836. Presque neuf ans, délai anormalement long, séparent donc le lancement du concours avec la déclaration des résultats. Continuer la lecture de « Willm, Joseph (1792-1853) et le troisième concours sur la Philosophie allemande »
Lemoine, Albert (1824-1874), à la jonction de la psychologie et de la physiologie
Albert Lemoine parcourt sans encombre toutes les étapes d'une carrière universitaire réussie : professeur de lycée en province puis à Paris, professeur de philosophie à la Faculté des Lettres à Nancy puis à Bordeaux, maître de conférences à l'École normale supérieure. Mais, bien que lauréat de l'Académie des Sciences morales et politiques, ne parvient pas, malgré cinq tentatives, à se faire élire. Continuer la lecture de « Lemoine, Albert (1824-1874), à la jonction de la psychologie et de la physiologie »
La Logique d’Aristote mise au concours
En 1835, pour la deuxième fois, Aristote est mis à l'honneur par l'Académie des Sciences morales et politiques. La section de Philosophie, sur la proposition de Victor Cousin, a en effet donné pour thème de concours : l'Examen critique de l' Organum d'Aristote. Le prix sera remis en novembre 1837, à Jules Barthélemy Saint-Hilaire [1805-1895], qui a entrepris parallèlement le considérable travail de traduire la totalité des textes d'Aristote qui nous sont parvenus. Continuer la lecture de « La Logique d’Aristote mise au concours »
Francisque Bouillier (1813-1899), historien de la philosophie, bibliographie
Son "Histoire de la philosophie cartésienne" (1854) est encore rééditée de nos jours. Mais à côté de cette oeuvre d'histoire de la philosophie, il existe presque deux cents interventions, discours, brochures, rapports, mémoires, ouvrages, tirés à part. Cette bibliographie s'efforce d'en rendre compte.
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Auguste Daunas [1814-1850], un normalien spécialiste de Plotin
Dans une carrière, relativement brève, Auguste Daunas inscrit son nom dans l'histoire de la philosophie, grâce à sa thèse française, rédigée en 1848, ayant pour titre : Études sur le mysticisme. Plotin et sa doctrine, publiée à compte d'auteur. Cette thèse est rééditée plus de cent-trente ans plus tard par l'éditeur allemand Scientia Verlag. Continuer la lecture de « Auguste Daunas [1814-1850], un normalien spécialiste de Plotin »
Jugement d’un ancien sur Henri Bergson
Emmanuel Joyau [1850-1924], professeur de philosophie à la Faculté des Lettres de Clermont, a une cinquantaine d'années quand il a à apprécier la portée d'un certain normalien et agrégé de philosophie du nom d'Henri Bergson [1859-1941], qui, quinze ans plus tôt a été chargé de conférences de philosophie [1884-1887] à l'Université de Clermont. Continuer la lecture de « Jugement d’un ancien sur Henri Bergson »
Esprit français et philosophie allemande
Immanuel Hermann von Fichte [1796-1879], professeur de philosophie à l'Université de Tubingen, fils de Johann Gottlieb Fichte [1762-1814], publie en 1835 un petit écrit se rapportant en partie à l'esprit français et à la philosophie allemande, qui dit-il, avec humour, en s'adressant aux français dix ans plus tard " n'est vraisemblablement pas arrivé jusque chez vous ". Aussi il en reprend un passage qu'il cite plus tard dans l'Introduction à la traduction française, faite en 1845, par Francisque Bouillier de la : Méthode pour arriver à la vie bienheureuse.
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Damiron juge le Descartes de Francisque Bouillier
Le 3 et 10 avril 1841, l’historien de la philosophie Jean Philibert Damiron [1764-1862], au nom de la section de Philosophie de l’Académie de Sciences morales et politiques, lit le Rapport concernant les manuscrits se rapportant au Concours de juin 1838 : Examen critique du cartésianisme.
Il consacre une partie de son analyse au texte de Francisque Bouillier [1813-1899], qui sera, avec l’essayiste Jean Bordas-Demoulin [1798-1859], l’un des deux lauréats. Continuer la lecture de « Damiron juge le Descartes de Francisque Bouillier »
Joseph Willm : notice nécrologique de Hegel (1770-1831)
Le lundi 14 novembre 1831, dans l’après-midi, Georg Wilhelm Hegel meurt à Berlin, vers cinq heures de l’après-midi, dans son appartement du Kupfergraben, dans sa soixante-deuxième année. Quelques semaines plus tard, Joseph Willm [1792-1853], professeur à Strasbourg, rédige en français une notice nécrologique sur Hegel, pour le trente-troisième numéro de la Nouvelle Revue germanique. Continuer la lecture de « Joseph Willm : notice nécrologique de Hegel (1770-1831) »
1830. Manuels de philosophie : recommander, sans prescrire
Dans le premier ministère du règne de Louis-Philippe, le duc Victor de Broglie [1785-1870] est ministre de l’Instruction publique et des cultes, du 11 août 1830 au 2 novembre 1830. Le 6 octobre 1830, il adresse aux recteurs une Circulaire relative aux recommandations d’ouvrages de philosophie, manifestement inspirée par V. Cousin.
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Marseille : les trente premières années d’enseignement de la philosophie
En ce qui concerne la philosophie, l'emprise d'un personnel enseignant clérical est forte sous l'Empire et la Restauration, même si ce personnel doit fournir un enseignement non confessionnel. Cette emprise cléricale est gommée après 1830, pour laisser la place à un personnel laïque formé à Paris, à l'Ecole normale, donnant un enseignement officiel, dont le contenu est, selon les moeurs du temps, strictement éclectique et spiritualiste. Continuer la lecture de « Marseille : les trente premières années d’enseignement de la philosophie »
Hegel et la dédicace du Gorgias de Platon
En 1826, Victor Cousin [1792-1867] fait paraître le troisième tome de sa traduction du grec en français, des Oeuvres de Platon. Le volume contient les traductions de Protagoras, ou les sophistes ; Gorgias ou la rhétorique. En tête du volume se trouve, sur trois pages, composée en écriture dite “anglaise“, en forme d'hommage public, la longue dédicace de la traduction du Gorgias : « A Mr/ G. W. F. Hegel,/Professeur de Philosophie à l'Université de Berlin./ ». Continuer la lecture de « Hegel et la dédicace du Gorgias de Platon »
Ampère et la société chrétienne de Lyon, 1804.
Mathématicien, physicien, chimiste, inventeur, André Marie Ampère [1775-1836] a des convictions religieuses fortes. Il n'hésite pas à faire du prosélytisme : il crée à Lyon, fin 1803-début 1804, une société chrétienne qui va fonctionner quelques mois. A partir de la fin de l'année 1812, Ampère participe aussi à une petite société de métaphysiciens regroupée autour de Maine de Biran. Continuer la lecture de « Ampère et la société chrétienne de Lyon, 1804. »
L’élection du philosophe Adolphe Franck aux Sciences morales, 1844
Le samedi 20 janvier 1844, le professeur de philosophie Adolphe Franck [1809-1893] est élu à l’Académie des Sciences morales et politiques, dans la section de Philosophie. Cette élection, acquise seulement au troisième tour, ne se fait pas sans difficulté. Soutenue expressément par Victor Cousin, elle prolonge la sécularisation déjà entreprise quelques années auparavant, lorsque Franck est reçu à l'agrégation de philosophie.
Continuer la lecture de « L’élection du philosophe Adolphe Franck aux Sciences morales, 1844 »
Casimir Mercier (1863-1921), normalien, professeur à Louis-le-Grand
Après l’agrégation des lettres en 1889, le professeur de lettres Casimir Mercier [1863-1921] mène une carrière classique d’enseignant. Après plusieurs postes en province, est nommé à Versailles, puis à Paris. Il décède en fonction, alors qu’il est promu en fin de carrière au lycée Louis-le-Grand. Continuer la lecture de « Casimir Mercier (1863-1921), normalien, professeur à Louis-le-Grand »
Les enseignants de philosophie dans les territoires annexés par la France, 1812
L’Almanach de l’Université impériale, pour l’année 1812, publié à Paris, chez Brunot-Labbé, fournit de nombreux renseignements sur les personnalités académiques. On peut y relever les noms des enseignants, dans les Facultés, les lycées et les collèges. On fournit ici la liste des enseignants de philosophie, en 1810, dans les territoires annexés par la France. Continuer la lecture de « Les enseignants de philosophie dans les territoires annexés par la France, 1812 »
La mort de l’abbé Jean Baptiste Marcel Flottes, 1864
L'abbé Jean Baptiste Marcel Flottes [1789-1864] est d'abord professeur de philosophie au séminaire de Montpellier, puis au collège de Montpellier. Il est nommé professeur de philosophie à la Faculté des lettres de Montpellier, au moment de la création de la faculté en 1838 et prononce sa première leçon le 4 janvier 1839. Il assure son enseignement jusqu'en 1857.
Continuer la lecture de « La mort de l’abbé Jean Baptiste Marcel Flottes, 1864 »
Pastoret [5] et le bonheur de la Restauration
Pastoret [4], philanthrope et professeur
Pastoret [3], la politique et l’exil
Pastoret [2] et l’Ancien régime
Pastoret [1], une vie exemplaire, en bref
Le jurisconsulte, criminaliste et historien du droit, Emmanuel Pastoret [1755-1840] qui appartient par sa naissance et sa charge à la haute bourgeoisie, « à la lisière de la noblesse » traverse, dans ses quatre-vingt cinq ans d’existence, et plutôt avec chance et habileté, plusieurs régimes. Jusqu’à devenir, en 1829, chancelier de France, autrement dit le plus élevé des grands officiers de la monarchie. Continuer la lecture de « Pastoret [1], une vie exemplaire, en bref »
Les rédacteurs de la revue La Liberté de penser [1847-1851] – 3 – N à Z
Les rédacteurs de la revue La Liberté de penser [1847-1851] – 2 – E à N
Les rédacteurs de la revue La Liberté de penser [1847-1851] – 1 – A à E
Voici la liste alphabétique de la centaine de contributeurs ayant signé un ou plusieurs articles de la revue mensuelle « La Liberté de penser, revue philosophique et littéraire », qui, à l'initiative d'Amédée Jacques, paraît de décembre 1847 à novembre 1851. Ainsi que, dans la mesure du possible, des indications biographiques concernant les auteurs, se rapportant surtout à la période de 1847 à 1851. Continuer la lecture de « Les rédacteurs de la revue La Liberté de penser [1847-1851] – 1 – A à E »
Hegel et l’édition de la Société des amis du défunt
Au lendemain de la mort du philosophe allemand Georg Wilhelm Friedrich Hegel [1770-1831], en novembre 1831, sept de ses anciens élèves et amis, se constituent en association pour publier dans les meilleurs délais une édition des Œuvres de Hegel.Dès 1832, paraissent déjà plusieurs volumes. Continuer la lecture de « Hegel et l’édition de la Société des amis du défunt »
Hegel, ou le malheur de la philosophie
Dans une lettre ouverte adressée en 1849 à Victor Cousin, Karl Ludwig Michelet [1801-1893], professeur à l’Université de Berlin, rejette l’interprétation cousinienne selon laquelle la philosophie hégélienne est la cause de tous les maux dont la France et surtout l'Allemagne sont maintenant atteintes. Continuer la lecture de « Hegel, ou le malheur de la philosophie »